Auteur : Londechamp Guy
Ouvrage : L'Homme Vibratoire
Année : 2002
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Un être humain est considéré comme un « système ouvert », selon la terminologie employée par Ilya Prigogine (Prix Nobel de Physique). C’est-àdire qu’il échange continuellement des informations avec le monde dans lequel il vit, et dont il se nourrit :il absorbe l’ordre du monde extérieur et le stocke dans ses noyaux cellulaires. Dans les systèmes fermés (tubes à essai, matière inerte) le degré d’organisation varie avec la chaleur : - l’ordre augmente avec l’extraction de chaleur, provoquant structuration et cristallisation. - il diminue avec le chauffage : chaos et entropie (désorganisation, liquéfaction). Toutes les modifications sont prévisibles, reproductibles et réversibles. « Dans les systèmes ouverts, chaque apport d’énergie véhicule des informations et produit des corrélations dans le temps, l’espace, les rythmes et structures : ces changements sont dépendants des microimpulsions précises affectant les noyaux cellulaires…, et modulant leur activité même en l’absence totale ou partielle des substances chimiques ou biologiques nécessaires aux transmissions (Fritz Albert Popp, « la biologie de la lumière »). » La communication cellulaire et la régulation biologique reposent sur des phénomènes qui dépassent les équilibres chimiques et les lois de la thermodynamique : on ne peut plus raisonner en termes de calories ou de milligrammes de substance chimique par kilo de poids corporel !! Le changement structurel d’un système ouvert n’est pas réversible ; on ne peut faire revenir le système vivant à son état antérieur en lui prélevant l’énergie ou la chaleur apportées (en admettant qu’elles soient identifiables). Les passages de phase non en équilibre (= crises), qui sont des changements de système d’ordre, ont parfois besoin d’un très faible apport d’énergie déterminée. -rôle des doses faibles (homéopathie ?) -précises sur le plan informatif (qualité ?) -répétées dans le temps (structuration ?) Si cet apport cesse, tôt ou tard, l’organisation se rompt à nouveau d’elle-même et globalement. (Popp, opus cité). Des expériences passionnantes ont été menées (Gurwitsch), Bohm / Popp en 1973, Kaznachejev 1981) sur les communications cellulaires et le rayonnement cellulaire ultraténu : -tous les organismes vivants émettent une bioluminescence (sauf les algues simples et les unicellulaires) ultrafaible, d’un facteur 10 puissance18 fois plus faible que l’intensité de la lumière du jour. -les intensités et spectres de ce rayonnement varient selon les espèces. -il y a une augmentation très nette du rayonnement lorsque le système commence à mourir, indépendamment de la manière dont il meurt (toxique, chauffage, congélation…). -il disparaît à la mort. -les photons sont capables de provoquer et d’activer la division cellulaire, directement (ultra violets). -les cellules communiquent entre elles grâce à des flux de photons spécifiques, et ce en dehors de toute transmission chimique, de tout contact physique direct. Pour vérifier cela, on a placé deux cultures cellulaires dans une solution nutritive, chacune dans un ballon de quartz. Les deux ballons de quartz ont été mis en contact à travers une membrane de quartz (cristallin) ou de verre (amorphe) : - quand on contamine la culture cellulaire n° 1 avec un virus, la colonie n° 2 devient malade aussitôt, en présentant les mêmes lésions cellulaires… mais sans la présence virale. - quand on provoque une destruction cellulaire avec rayonnements, ou un toxique (mercure), l’autre culture présente les mêmes aspects pathologiques sans induction directe. - si on remplace la membrane de quartz par une membrane de verre, la culture cellulaire n° 2 reste indemne, ce qui atteste le mode de communication direct par les ultraviolets que le quartz laisse passer (et pas le verre). ...
Demolins Edmond - L'éducation nouvelle
Auteur : Demolins Edmond Ouvrage : L'éducation nouvelle Année : 1898 Lien de téléchargement :...